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APRÈS AVOIR ÉTÉ HUMILIÉ PAR LE SU­PER­PO­LI­CIER EX­TRA­TER­RESTRE CASHMAN DANS SA JEU­NESSE, DEVIL KID A GRANDI TRAU­MA­TISÉ. MALGRE CELA, IL ENTEND DEVENIR UN HÉROS À PART ENTIÈRE, MAIS SELON SES PROPRES TERMES. DÉ­SIL­LU­SIONNÉ PAR L'AP­PROCHE CA­PI­TA­LISTE DE « HÉROS À LOuer » DE CASHMAN, DEVIL KID JURE D'AIDER LES GENS GRA­TUI­TE­MENT, PER­SUADÉ QUE LES VRAIS HÉROS NE SE BATTeNT PAS POUR DE L'AR­GENT, DES RÉ­COM­PENSES OU DU MÉRITE. MAIS... KA­KO­DAI­MAN N'EST PAS UN SUPER-HÉROS CLAS­SIQUE. IL UTILISE SA NATURE EN­FAN­TINE ET ESPIÈGE POUR ALI­MEN­TER SES ACTES DE « JUSTICE » ET CIBLE LA POLICE POUR SON AP­PROCHE sans émotion DE LA LOI. Pour­tant, il sym­pa­thise avec les cri­mi­nels et les ci­toyens qui agis­sent sous l'effet de l'émo­tion dans des si­tua­tions dé­ses­pé­rées, même s'ils com­met­tent des crimes, ce qui crée un sen­ti­ment d'am­bi­guïté morale. KA­KO­DAI­MAN s'ins­pire non seule­ment de Cashman d'Akira To­riyama, mais aussi de ses œuvres « Jiya » et « Jaco le Pa­trouil­leur Ga­lac­tique », ainsi que du per­son­nage de Merus dans Dragon Ball Super. Ces his­toires dé­peig­nent la Pa­trouille Ga­lac­tique comme une or­ga­ni­sa­tion qui fait res­pec­ter l'ordre par une justice dé­ta­chée et « froide », une norme uni­ver­selle idéa­li­sée qui entre souvent en conflit avec l'émo­tion humaine et les nuances morales. DANS JIYA ET JACO, L'HU­MA­NITÉ EST JUGÉE POUR SES DÉFAUTS ET SON DROIT À L'EXIS­TENCE EST REMISE EN QUES­TION. QUAND Bardock, LE PÈRE DE GOKU, METs EN GARDE LA PA­TROUILLE SUR LA PHI­LO­SO­PHIE MORALE DE tuer UN ENFANT IN­NO­CENT MÊME DAN­GE­REUX, CASHMAN, EN FLIC QUI facture LES GENS en besoin d'AIDE, DEVIENT L'IN­CAR­NA­TION DE CE DÉ­TA­CHE­MENT INS­TI­TU­TION­NEL OU « JUSTICE FROIDE ». À L'OP­PO­SI­TION, KA­KO­DAI­MAN S'INS­CRIT DANS LES TRAVAUX DE DEVIL KID, UN ANCIEN RIVAL ESPIÈGE QUI DEVIENT UN HÉROS VOYOU NON POUR FAIRE RES­PEC­TER LA LOI, MAIS POUR LA DÉFIER. SON VOYAGE EXPLORE L'ÉMO­TION, L'ÉGO ET L'IM­PER­FEC­TION HUMAINE, NON PAS COMME DES FAI­BLESSES À RÉ­PRI­MER, MAIS COMME DES ÉLÉ­MENTS ES­SEN­TIELS D'UNE JUSTICE PLUS COM­PAS­SION­NELLE ET PLUS FONDÉE. CETTE JUSTICE SERA-T-ELLE POUSSÉE TROP LOIN ? QUELLE PHI­LO­SO­PHIE A RAISON EN FIN DE COMPTE ? LISEZ KA­KO­DAI­MAN ET DÉCIDEZ PAR VOUS-MÊME !

Con­texte: